Sobriété énergétique : qu’en est-il des emails ?

Dans le contexte actuel, tous les aspects de notre consommation sont passés au crible pour mesurer leur impact sur la dépense énergétique globale. L’utilisation de nos appareils électriques, électroménager, chauffage ou wifi est mesurée, l’ADEME a même mené une étude sur l’impact du streaming versus les CD et liseuses versus les livres papier.

Mais qu’en est-il des emails ? Nous en envoyons tous les jours, dans notre vie personnelle et encore plus dans notre vie professionnelle. Mais on ne nous demande pas de réduire nos habitudes. La pollution générée pourtant parfaitement connue et quantifiée : un email avec pièce jointe d’1 Mo a un impact énergétique de 25 W/h, soit l’équivalent de deux heures d’usage d’ampoule basse consommation*.

Au delà des solutions qui existent pour réduire cet impact environnemental, il s’agit de revoir notre comportement quant à l’utilisation des emails.

Comme un réflexe…

Avec le passage à l’ère du digital, les échanges ont été largement facilités et multipliés. Particulièrement en entreprise, envoyer un email est aussi naturel que dire bonjour en arrivant. Jusqu’à envoyer des emails inutiles, mettre beaucoup trop de monde en copie, transférer « au cas où l’autre ne l’a pas eu ».

Ce sont 306 milliards d’emails qui sont envoyés chaque jour dans le monde et ce chiffre est en hausse constante. Il est estimé à 376 milliards en 2025**.

Derrière les emails, il y a des data centers et la consommation d’énergie nécessaire pour les faire fonctionner et supporter ce que requiert le volume d’informations qui circulent. Consommation électrique, consommation de CO2 : tout cela augmente avec le nombre d’emails envoyés et la taille des pièces jointes qu’ils contiennent.

C’est là que le changement de comportement au quotidien et de la façon dont nous considérons les emails devient nécessaire.

Est ce vraiment utile d’en envoyer autant ? Doit-on mettre autant de monde en copie ? Est-ce la seule façon de traiter sa liste de tâches ?

… qu’il faudrait déconstruire

Aujourd’hui, presque tous les outils de l’entreprise sont collaboratifs. Sauf un. La messagerie.

Pourtant c’est ce qui est utilisé par 100% des collaborateurs.

Pourtant c’est la principale façon de communiquer.

Pourtant tout le business d’une entreprise passe par email.

Alors pourquoi est-ce que l’envoi des emails reste quelque chose d’individuel ? Avec chacun son organisation, chacun son accès à l’information, chacun sa façon de gérer son niveau de partage.

Adopter le collaboratif fait sens compte tenu de la tendance grandissante au télétravail, de la présence sur des sites différents, des nouveaux modèles adoptés par la génération Y, etc… Le collaboratif apporte du gain de productivité et fait gagner du temps de façon globale.

Une étude menée par IDC InfoBrief en 2019 montre que les entreprises vont continuer à accélérer drastiquement l’adoption de solutions collaboratives. Cette accélération va devoir prendre en compte les messageries, qui, elles, n’ont pas bougé depuis 15 ans. Pour des raisons évidentes de méthode de travail mais aussi pour prendre en compte ce qu’elles représentent en terme de consommation énergétique.

Un nouveau paradigme

En modifiant notre façon de considérer les emails, mécaniquement, on en envoie et reçoit moins.

Hormis les emails avec de larges listes de diffusion qui sont nécessaires pour des communications globales au sein de l’entreprise, et les emails entre 2 personnes uniques sur des sujets importants, tout le volume d’emails envoyés au sein d’une équipe peut être revu à la baisse.

Ce sont ces emails envoyés au sein d’une équipe qui sont les plus nombreux donc qui polluent le plus.

Et si les emails échangés par les autres membres de l’équipe étaient disponibles pour les personnes concernées ? Et si tout était classé de la même façon pour tout le monde ? Et si, en une recherche, on avait accès à ce qui nous intéresse sans besoin de transférer d’emails ?

Un outil collaboratif qui, mécaniquement, réduit le nombre de mails envoyés et reçus.

Cet outil c’est eMANA. Avec en bonus encore plus d’autres fonctionnalités qui facilitent la vie avec les emails. Si vous voulez participer chaque jour à réduire la consommation énergétique, commencez par essayer eMANA gratuitement !

 

 *étude ADEME 2014

 **étude Estima

Emilie LeCoguiecSobriété énergétique : qu’en est-il des emails ?

Votre messagerie pollue mais vous y pouvez quelque chose

L’arrivée du digital partout dans nos vies a eu pour conséquences la réduction des quantités de papier utilisées. Mais la consommation de CO² n’a pour autant pas diminué. Au contraire, elle est devenue invisible ou presque. Nos activités en ligne consomment énormément d’énergie et l’envoi d’emails ne fait pas exception. Pourtant, aucun d’entre nous n’y pense vraiment quand il envoie un email. C’est facile, rapide. Mais sur le total de tous les emails envoyés, c’est bel et bien là. Vos messageries polluent et vous pouvez agir.

Calculez combien de CO² vous émettez en envoyant des mails

Selon Carbon Literacy Project, un e-mail sans pièce jointe génère environ 4g de CO².  Avec une pièce jointe volumineuse, cela monte à 50g. On peut considérer que chacun reçoit en moyenne 39 emails par jour et à cela il faut ajouter le nombre d’emails stockés dans les boites qui sont entre 10 000 et 50 000 par personne. Les milliers de km parcourus vers les serveurs situés aux Etats Unis ajoutés au transit via des serveurs ou routeurs qui, eux-mêmes, consomment de l’énergie : la consommation atteint des sommets comparables aux industries les plus polluantes. Notre emprunte carbone est très élevée sans même nous lever de notre chaise.

Avez-vous déjà eu la curiosité de savoir ce que cela représente pour vous ? Faites le calcul avec le nombre de d’emails que vous avez en boite et ceux que vous recevez tous les jours. Et mettez ça à l’échelle de votre entreprise. Ensuite comparez aux 20kg de CO² que vous consommez quand vous faites 100 km en voiture. Tout ça devient plus concret. Et effrayant, non ?

Il existe heureusement des solutions pour réduire cette consommation, sans avoir à faire des heures de nettoyage de boite mail.

Comment eMANA réduit drastiquement le problème ?

En commençant par avoir des serveurs en France, le sujet de la distance à parcourir et des transits n’en est plus un. Et c’est le cas d’eMANA. Pour des raisons de souveraineté des données d’abord, mais aussi par souci du respect de l’environnement, les datacenters sont situés en France et avec un niveau de sécurité maximum.

Ensuite, la conception même d’eMANA permet de réduire de 90% la consommation de CO². La gestion collaborative des emails réduit naturellement le nombre d’emails que chacun reçoit : le travail en équipe permet de ne pas avoir à mettre les personnes en copie pour qu’elles aient accès aux échanges.

Et le plus important : les pièces jointes ne sont stockées qu’une seule et unique fois. Même si l’email et sa pièce jointe sont transférés à plusieurs personnes, eMANA détecte qu’il s’agit du même fichier et ne le duplique pas. Nul part. Cette fonctionnalité est considérable dans la réduction de consommation d’énergie. En plus d’être un vrai gain de temps au quotidien.

Maintenant que vous avez constaté votre consommation personnelle de CO² et celle de votre entreprise au global, testez eMANA et alliez gain de temps et protection de l’environnement !

Emilie LeCoguiecVotre messagerie pollue mais vous y pouvez quelque chose