Derrière eMANA, se trouve toute une équipe. Elle évolue et surtout, elle s’agrandit. Comme il s’agit avant tout d’un projet basé sur l’humain, nous avons envie de vous présenter un à un les membres de l’équipe. Régulièrement, nous allons vous proposer des portraits en mode interview afin que vous connaissiez mieux les coulisses d’eMANA.
Nous commençons par l’un des derniers arrivés : Théo, 24 ans, développeur eMANA.
Quel a été ton parcours avant d’arriver dans l’équipe eMANA ?
Je suis diplômé de l’Ecole des Mines de Saint Etienne, j’étais étudiant sur le campus de Gardanne, près d’Aix en Provence. L’école est spécialisée en électronique et informatique mais il a été rapidement très clair pour moi que c’est l’informatique qui m’intéressait le plus. J’ai donc fait mon stage chez PC Soft à Montpellier. Pendant 8 mois, ma mission a été d’utiliser leur logiciel WinDev pour créer des applications internes et faire des retours aux développeurs sur les bugs et améliorations potentielles.
Ils m’ont vite proposé un CDI, que j’ai accepté sans pourtant être très convaincu par le produit ou l’état d’esprit de cette entreprise. Après 2 mois de contrat, j’ai finalement décidé de partir, mon instinct était juste. L’aspect humain est pour moi primordial dans toute expérience et je ne pouvais pas m’épanouir dans les conditions qui m’étaient proposées.
Après une pause, j’ai donc recherché un contrat en sachant mieux quels étaient les critères les plus importants pour moi. Le contact avec Raynald Wauters, fondateur d’eMANA a été dans le sens de mes attentes. Les valeurs d’eMANA sont celles que je partage, j’ai donc rejoint la team en mai 2022.
Quelle a été ta première réaction en découvrant la solution eMANA ?
La première fois que j’ai lu des choses sur eMANA, c’est en préparation de l’entretien d’embauche. Et honnêtement, je me suis dit « mmmhh, ok, une boite mail… Il en existe des tonnes, c’est pas ce qu’il y a de plus fun ». Mais je suis curieux et je ne m’arrête jamais à la première impression donc j’ai poursuivi la démarche.
Qu’est-ce qui a fait tilt par la suite ?
Le contact avec Raynald a fait beaucoup. Contrairement à d’autres entreprises avec lesquelles j’étais en contact, il m’a montré de l’intérêt. Pour preuve, durant mon 1er entretien, on n’a presque parlé que de moi et très peu du projet.
Ensuite, quand on a poursuivi le processus, il est rentré dans le détail et j’ai pu prendre la mesure de ce qu’est eMANA. La souveraineté d’abord et le fait de se détacher des outils américains. Et ensuite, le concept même d’eMANA qui parlait parfaitement à ce que j’ai connu lors des mes expériences en entreprise. Tout le monde fonctionne avec des to-do lists et l’email doit être considéré comme une tâche sur cette to-do list.
Lors de mon expérience, quand quelqu’un me demandait de faire quelque chose, je lui demandais de m’envoyer un email pour me le rappeler. Et je gérais mes tâches dans ma boite mail, au milieu des tous les autres reçus. eMANA est conçu pour le faire de façon automatisée avec la puissance de l’IA. J’ai trouvé ça impressionnant.
La dernière chose qui a fait tilt a été l’armoire et le fait de pouvoir utiliser une recherche très poussée pour aller chercher un email ou une pièce jointe en un clic.
Quel est ton rôle dans l’équipe ?
Je suis développeur, je suis en charge du côté back office, donc de développer, améliorer et faire évoluer le moteur derrière la solution. Je contribue aussi au développement de la partie application mobile qui devait bientôt voir le jour.
Comment présentes-tu eMANA à tes proches quand tu parles de ton job ?
Je dis « je fais une boite mail » avec un grand sourire parce que je sais quelles vont être les réactions ! Ensuite, je leur explique que pour résumer, eMANA est une messagerie intelligente qui automatise le classement des emails. Et que derrière ça, c’est beaucoup plus puissant.
Veux-tu nous partager quelque chose sur toi ?
Je viens de Dijon où j’habitais chez mes parents. Je suis arrivée dans le sud via le hasard des concours pour intégrer mon école. Après 3 ans passés ici, je ne veux plus remonter ! J’ai tracé une ligne entre Lyon et Bordeaux, c’est devenu ma limite géographique en ce qui concerne l’endroit où je veux habiter 🙂 Et aujourd’hui, Aix en Provence me convient parfaitement.